Bonjour,
Merci pour vos réponses.
C'est vrai que les postes sont régulièrement autonomes, dans notre cas, ça ne le sera pas, c'est pour étoffer une gamme de poste de soudure relié au secteur.
La demande existe, plus en Allemagne par exemple et beinsûr dans les pays pétroliers.
Ma difficulté est de connaître la courbe de charge de l'appareil qui déterminera sa dynamique.
L'arc, en cellulosique, est régulièrement soufflé par les émanation de CO2 de la cellulose, alors il faut pouvoir maintenir l'arc. Mais faut-il maintenir l'arc sous le courant de soudage (160A dans mon cas, soit dimernsionner l'appareil pour une tension d'arc de 50V-60V sous 160A) ou simplement avoir une maintien de l'arc sous 20A seulement.
Le dimensionnement de l'appareil n'est plus le même du coup.
Dans un cas, c'est un appareil qui peut débiter jusqu'à 160A*60V = 9600W et dans l'autre 160A*30V (tension correcte pour ne pas désamorcée, la tension étant à la norme de 26.2V) plus que 4800W.
La taille de l'appareil n'est plus la même par son dimensionnement et sa quantité l'aluminium pour le refroidissement.
Je vais voir les formations à l'Institut de Soudure sur le soudage cellulosique.
Encore merci