Bonsoir, (pfff j'aurais du regarder la date :cool:)
le problème m'interpelle en effet plus tu montes vite en température plus rapide sera la vitesse de refroidissement du coup je vais me permettre un exercice de syntaxe si ton énergie Linéaire de soudage augmente par rapport à une épaisseur faible tu auras aussi un temps de séjour a haute température plus long avec un temps de refroidissement plus long une vitesse de refroidissement rapide tu es donc en SURCHAUFFE ce qui entraîne une augmentation de la taille des grains une baisse de la dureté, de la résistance élastique, baisse aussi de la résistance mécanique et une baisse de ta résilience le remède serait de baisser l'énergie linéaire de soudage
Pour qu'il y ait fissuration à froid il faut 3 conditions :
hydrogène, contrainte et structure
je t’envoie cette réponse et je regarde dans mes bouquins par rapport à ton gaz et ta nuance de métal voir si je peux compléter ma réponse
suite de réponse
Utilisé en MAG soit pur soit en mélange (oui oui j'ai vu qu'il avait dit Laser)
Il permet la stabilisation de l'arc par la formation d'oxydes émissif à la surface du bain, il augmente la viscosité du bain donc améliore le travail en position, meilleure compacité, meilleure interpénétration entre passe car la pénétration est plus large.
Inconvénients
Moins bon mouillage, ne permet pas le soudage en pulvérisation axiale s'il est utilisé à l'état pur car on obtient des soufflures, le mouillage est moyen donc risque de fissuration par fatigue, risque d'augmenter la teneur en carbone dans la zone fondu (limitation du CO2 pour les aciers austénitiques) et d'oxyder le métal déposé.
Dioxyde de carbone : CO2
Oxydant a haute température (CO2 -> CO + 1/2 O2)
E24 c'est un acier du type S235 trempabilité faible environ 0,25% de carbone équivalent
Je crois avoir fini tiens nous au courant si nos réponse t’ont aider s'il te plaît ça m’intéresse :)
cordialement
Michel