pourtant dans les conceptions on est souvent dans l'absurde
Je me souviens des charnières de porte de coffres extérieurs de VAB porte en tôle de 1.5 , charnières en épaisseur 4 exigence qu'elles soit soudées en continue, je vous laisse imaginer la pour le redressage, la solution était 4 lardons de 2 ou 3 cm aux bons endroits et masticage avant peinture pour la corrosion.
Idem coffre à batterie en alu de VAB (c'est un peu le même système que pour les bagnoles, crochets et tirants , même là il y a 4 batteries), c'était côté à plus ou moins 5/10 avec des côtes supérieures à mille alors qu'il y avait 5 mm de jeu de chaque côté des batteries , autre truc des platines alu genre 50 par 150 en épaisseur 8 mm percées taraudées M8, j'avais soudé par 4 lardons de 40 mm, le mec à tiqué parce que ce n'était pas soudé en continu, je lui demandé si sérieusement il pensait que son taraudage était plus résistant que mes 4 soudures, ce qu'il a admit. Et ce n'est pas du radinisme d'essayer de limiter les soudures, où d'essayer d'être dans les tolérances vraiment justifiées, ou de ne pas meuler si c'est juste pour faire joli pour des pièces industrielles ( ex coffre alu pour l'électronique embarquée du char Leclerc) c'est comme cela que 'on arrive à des produits hors de prix, et que l'on se fait bouffer par la concurrence.
Les "ingénieurs" devraient relire Darwin, la fonction crée l'organe, la surqualité est un défaut.
Et puis la majorité ont une formation en mécanique, ils ne connaissent rien de la chaudronnerie.
J'ai fait l'ossature en alu du ROV Victor 6000 de l'Ifremer, un bidule de plus de 2500mm de long Tolérance hors tout + ou- 1mm.
J'ai dit nenni, réponse il faut, je leur ai répondu si vous voulez que le ciel soit il suffit de demander.
Des traverses et pièce assymétrique donc difficile de mettre des surlongueurs, on les met où?
On a fait à plus 2 mm , pièce finit - 12mm ils ont fait avec , et Victor ne s'en porte pas plus mal et batifole toujours au fond des océan