Bonjour,
Je ne comprends toujours pas l'intérêt de transcrire une qualif et j'aimerai bien que vous me l'expliquiez, d'une part, puis en quoi cela consiste précisément, et quels textes réglementaires régissent ces transcr_iptions, d'autre part.
Faut il rappeler que, le but premier de la réalisation d'une qualif est de s'assurer, in fine, que, globalement, les caractéristiques physico-chimiques des matériaux à souder sont pérennisés' Ou dans certains cas, sont atteints, structure recherchée, TT etc, par exemple?
Il ne faudrait pas perdre de vue que le DMOS constitue les consignes données au soudeur.
Alors, à quoi cela sert il de modifier la forme d'un document puisque les renseignements essentiels, procédé, épaisseurs, type de MA, diam, positions, U, I, V, E, pré-post chauffage etc etc sont figés et ne sauraient être modifiés'
En effet, une QMOS, en soi, n'est que le recueil des variables essentielles qui ont été mises en ?uvre lors de sa réalisation, et qui conduisent aux résultats recherchés.
Vous pouvez bien évidemment y ajouter à loisir tous les renseignements utiles pour l'entreprise ou qui vous sembleront simplement intéressants de conserver, mais s'il ne s'agit pas des variables essentielles avec un domaine de validité afférent, ils ne peuvent pas, normativement s'entend, être l'objet d'exigences de la part d'un client.
Cela n'interdit évidemment pas le dialogue technique au sujet d'exigences spécifiques.
Le domaine de validité n'apparaît pas sur le document mais il est vérifiable très facilement à l'examen du DMOS, domaine de validité qui peut donc à tout instant être vérifié normativement et, j'ajouterai, techniquement.
Je voudrai préciser également que, généralement, ce sont des organismes ou des particuliers qui, à la demande des donneurs d'ordre, maîtres d'ouvrages, maîtres d'?uvre etc etc, et s'ils le souhaitent, examinent éventuellement la validité des QMOS dans le cadre d'un contrôle extérieur par exemple.
Il est dés lors dommage, et dommageable financièrement pour les constructeurs, de constater aujourd'hui que certains de ces examinateurs ont des exigences non fondées, techniquement pas pertinentes, et qui vont au delà des obligations contractuelles et réglementaires.
Je me demande aujourd'hui, et ce n'est qu'une question, si tous ces gens sont bien compétents et ont les formations adéquates, ou bien si l'on ne confond pas, par exemple un contrôleur US, avec un inspecteur spécialiste du contrôle extérieur qui maîtriserait l'ensemble des opérations inhérentes à la réalisation de structures de qualité?
Mais bon, il s'agit peut être d'un simple problème financier?
A+, CDT.