Bonjour
Il y a une question qui me taraude l'esprit depuis un moment déjà et à laquelle je ne trouve pas vraiment de réponse malgré mes nombreuses recherches, alors si quelqu'un pouvais éclairer ma lanterne j'en serais ravi?
Je voudrais savoir qu'elle est l'influence métallurgique de l'énergie de soudage et plus particulièrement la densité de courant en soudage TIG ?
J'ai longtemps cru que les restrictions d'énergie imposées par les DMOS était destinées à éviter une température trop importante du bain, mais lorsqu'on augmente la vitesse de soudage en conséquence et qu'on réduit la longueur d'arc au minimum, celle-ci parait acceptable aux vues du degré d'oxydation du cordon réalisé, avec en prime une ZAT moins large et une déformation moindre (ex:automatique).
C'est là que quelqu'un m'a dit : « oui, mais l'énergie de soudage est trop importante, le métal est dégradé par la densité d'électrons transitant dans le métal fondu etc'».
N'ayant jamais trouvé quoi que ce soit appuyant cette thèse, mis à par le fait que l'emplois de certains gaz permet de limité la densité de courant utilisé pour un résultat équivalent soit préconisé pour augmenter la vitesse de soudage, mais ça pourrait être expliqué également par un meilleur mouillage et une meilleur morphologie du bain.
J'avoue me perdre dans tout cela...
Est-ce un problème de température du bain' D'action métallurgie des électrons dans le métal fondu ? Les deux ? Autre chose ?
Merci pour vos réponses.