Bonjour,
Je travaille depuis plus de vingt ans avec plusieurs référentiels pour les critères d'acceptation des défauts de soudage et je suis assez interloqué par les divergences qui existent entre les différents codes au niveau des tolérances dimensionnelles des défauts en général et particulièrement pour les excès de pénétration ou goutte !
Toutes les formules de calcul sont possibles et certaines relèvent parfois du miracle dans leur application stricte...
Comment obtenir des pénétrations maximales de 0,7 mm sur du soudage de tuyauteries en position avec un procédé manuel ?
J'ai parfois l'impression que les ingénieurs et les technocrates qui rédigent les codes et spécifications n'ont jamais tenus une torche de soudage dans leur main et n'ont jamais réalisés de soudure !
J'aimerais bien qu'une discussion à bâtons rompus s'ouvre sur ce thème !
Merci