Bonjour à tous,
Je vous écris car j'ai une question sur le soudage (beurrage plus précisément) d'un acier ferroviaire avec un matériaux d'apport en chrome nickel.
Actuellement je suis en alternance dans une société qui réalise des beurrages sur des rails de chemin de fer. (voir croquis)
Le cordon arasé après soudure afin que le matériel ferroviaire puisse transiter sur celui-ci.
Dans l'entreprise, le mode opératoire de soudage impose un préchauffage du rail à 350 °C.
(Selon les opérateurs, le préchauffage à pour rôle de favoriser la pénétration.
A mon humble avis, je pense que celui-ci à un rôle un peu plus précis au niveau métallurgique)
Ma question est de savoir pourquoi il est exigé de préchauffer le rail à cette température ?
Il y a-t-il un phénomène de fissurations à compenser avec un préchauffage ou autre ?
Quel impact à le préchauffage au niveau métallurgique ?
Pour vous apporter des pistes, je vous prie de trouver en PJ le certificat matière du rail et du métal d'apport.
Le procédé de soudage est un automate de soudage en fil fourré sans gaz.
Le métal de base est un R260 (surligné sur le document).
Sauf erreur de ma part, le matériau d'apport est un inox.
Pouvez vous me dire si il est austénitique, ferritique, martensitique, AF avant et après soudage ?
Pour se faire, je vous prie de trouver en PJ le certificat matière du produit d'apport et du métal de base.
Dans l'attente de votre retour et en vous remerciant par avance.
Bien à vous,
Sylvain