Bonjour,
Le problème principal à vouloir généraliser, c'est qu'on se retrouve vite aux bornes métallurgique et cela laisse la porte ouverte :
- si c'est juste pour déposer du cordon, n'importe quelle nuance standard pourra servir de moule pour le dépôt en définitive car l'on se fiche des conséquences sur l'assemblage, qu'il y ai des fissures à froid, du collage ou de la fissuration à chaud, qu'importe !?
Par contre on loupe les éventuels composés intermétalliques à haut point de fusion qu'on pourrait obtenir en conditions réelles...
Si ces composés ne représentent que 5% et que leur impact est jugé faible voir inexistant même sur une période d'exposition longue, alors encore une fois : qu'importe ?
On pourrait même pousser le bouchon jusqu'à mettre en place un moule en cuivre refroidi par eau afin de pouvoir sortir les lingots de métal d'apport plus facilement.
- si c'est pour une analyse plus fine prenant en compte les phénomènes de dilution dans les chanfreins, la part de métal de base qui participe à la solution colloïdale, la part des composés intermétalliques à haut point de fusion etc etc, il vous faudra à ce moment la un métal de base qui est un minimum compatible avec le métal d'apport pour simuler une situation "habituelle".
- si c'est pour réaliser une analyse fine en prestation, il suffit d'approvisionner selon leurs assemblages représentatifs et de se piquer sur leurs hottes aspirantes pour une analyse quantitative :)
J'espère avoir été assez clair dans ma vision des choses !